L'élan vital...

Et que peut faire l'autre, face à ça?
L'autre, celui qui est confronté tous les jours au quotidien, qui voit cette souffrance et le renoncement à l'espoir d'un mieux?
L'autre, celui qui a la sensation de ne pas pouvoir comprendre parce qu'il ne fait pas partie du "club des désespérés"?
L'autre, celui qui se sent impuissant et qui en arriverait presque à culpabiliser de l'avoir, ce fameux élan vital... celui qui le partagerait volontiers mais se heurte sans arrêt à un refus incompréhensible?

Comments

[arthuro jobsquar]

oui Kobato, mais au bout d'un moment c'est la maladie qui gagne et l'on devient cette putain de maladie.

[Kobato]

L'autre n'y est pour rien, il n'a pas à culpabiliser ... ce n'est pas la personne telle qu'il connait mais la maladie en elle qui agit ainsi ... la seule chose qu'il faut comprendre dans tout ça